We’ve updated our Terms of Use to reflect our new entity name and address. You can review the changes here.
We’ve updated our Terms of Use. You can review the changes here.

Disco Quake

by Jean-Pierre Marsal

/
  • Streaming + Download

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    Purchasable with gift card

      €5 EUR  or more

     

  • Full Digital Discography

    Get all 27 Jean-Pierre Marsal releases available on Bandcamp and save 50%.

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality downloads of Je me réveille en solde, Les Tempêtes, Distance, DISTANCE-Ep, BEATS, Retour à l'âge de pierre, LIVE CONJURATION, Les Cendres Et Le Vent, and 19 more. , and , .

    Purchasable with gift card

      €59 EUR or more (50% OFF)

     

  • Limited Edition Vinyl+ posters
    Record/Vinyl + Digital Album

    Comes in a high quality pack Printers with original artwork by R.Scoarnec.

    Includes unlimited streaming of Disco Quake via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.

    Sold Out

1.
rituals 03:24
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Stay Clean 03:28
8.
fuckfuckfuck 02:40
9.
Fish'n Chips 03:16
10.
11.
12.
5pm 04:20

about

www.perteetfracas.org/zine/kros2013/kros_num/202project_disco_quake.htm

202project
Disco Quake - LP
202prod//Le Son du Maquis 2012
Le bonheur est sur le bout d'un capot brûlé. Les jambes écartées et le cul de braise assis sur les années 80. Assumé, revendiqué, totalement par JP Marsal, l'homme, l'unique derrière ce nom de code 202project et un Total Eclispe qui nous avait déjà guidé vers la lumière. Les années 80 et sa froideur, sa new-wave, sa cold-wave, son beat minimaliste pour une danse coincée dans son pantalon trop étroit, New Order et un post-punk désabusé. Si vous acceptez ce postulat de base, vous pouvez alors ramenez vos fesses sur Disco Quake.
Les faire se trémousser comme un robot sur des titres aussi addictifs que Rituals, Bastards are Sincere ou Stay Clean. Car oui, à ma grande surprise, j'aime ça. Avec sa boite à rythmes débitant quasi toujours à la même cadence - celle d'une viande froide tapée méthodiquement au ralenti - son chant détaché, sa guitare crépitante et ses lignes de basses pour bassistes débutants (jouées sur un synthé ?), 202project dessine les contours de compositions sobres, mélodiquement supérieures, faussement traînantes, avec des gimmicks ludiques et des synthés drapant une enveloppe impénétrable. Des compos dépassant le cadre d'un passé très référencé grâce à sa qualité d'écriture ancrant 202project dans le présent car Disco Quake n'est finalement pas si congelé qu'il en avait l'air. Comme une chaleur diffuse et insoupçonnable, du caustique avec une histoire de grosse envie (Fuck Fuck Fuck), un brin de légèreté, une humeur vaporeuse, des morceaux plus noisy que glaçants et pratiquement un soupçon de honte d'aimer certains morceaux si connotés.
Faire du recyclage, la musique n'est que repompage, vieille rengaine bien connue que 202project manipule à merveille pour avancer et continuer de faire passer le frisson.

SKX (21/01/2013)

radiokulturanoiserus.blogspot.fr/2012/12/les-noise-rus-awards-2012-la-fin.html

202 Project "Disco Quake"
(Autoproduction)
JP.P. ou JP. Marsal, ça dépends de quel coté on se trouve, fait des disques seul depuis le début des années 90, ça formule, des boites a rythmes des guitares et un grand amour pour la new wave des 80's. Disco Quake est son disque le plus abouti et une petite merveille au passage, un classique de la front wave comme dirait un ami de Rennes. UN MUST !


666rpm.blogspot.fr/2012/11/202project-disco-quake.html

Les salauds et les fils de pute sont-ils sincères ? Question essentielle. Car autant dire que nous sommes sûrement tous des salauds ou des menteurs. JP Marsal AKA 202PROJECT revient près de deux ans après un Total Eclipse qui aura remué son quota d’idées noires et de clair-obscurs troublants. Ce nouvel album, dignement et uniquement publié en vinyle et intitulé Disco Quake, est le parfait successeur de ce coup d’éclat de 2010. Pourtant, et même s’il ne change pas radicalement la donne, voilà un disque qui semble bien plus désinvolte, bien plus ironique (désabusé ?) et – donc – moins en quête d’espérance et de repères. La légèreté faussement détachée (musicalement les 80’s dominent largement Disco Quake) qui s’échappe des douze titres de cet album n’arrive toutefois pas à cacher un malaise certain et palpable. Mais Disco Quake n’est pas un album moins personnel que Total Eclipse, il est juste d’apparence moins affectée parce que moins ambitieux… il n’en est donc que plus touchant.
Musicalement on ne manque pas non plus de remarquer la constance rythmique affichée de Disco Quake : mis à part Hollywoodland en fin de face A et The Moon Of Doom en avant-dernière position de la face B, toutes les compositions du disque vont à la même vitesse, celle d’une new wave robotique, grésillante et noisy, mais pas assez rapide pour danser dans l’oubli et l’insouciance ni assez lente pour se complaire dans la suffisance de l’auto-apitoiement. Très loin de provoquer un sentiment de lassitude, ce compteur rythmique bloqué entre 115 et 120 bpm est l’une des grandes forces du disque parce qu’il dévoile les qualités déterminantes de JP Marsal/202project en tant que compositeur et arrangeur. Autant de chansons qui auraient pu toutes se ressembler mais, de fait, autant de pépites diversifiées et aux caractères propres.
La face B de Disco Quake est même encore plus surprenante que la première avec des compositions (aux titres aussi hilarants que le grinçant fuckfuckfuck et le plus mélancolique Fish’n’Chips) qui semblent réellement prendre des voies parallèles tout en regardant de plus loin la même ligne d’horizon que le restant de l’album. Et comme si cela ne suffisait pas The Rain Drop In The Sand dévoile un côté 60’s (avec un simple mais très bon travail sur les arrangements) qui fait presque figure de rayon de soleil.
Le soleil ça brille mais ça brûle également ; un peu à l’image du superbe artwork de Disco Quake (signé Ronan Scoarnec, il avait déjà fait des pochettes pour 202project ou pour les groupes précédents de JP Marsal), un artwork montrant un bout de pellicule 35 mm brulée par une ampoule de projecteur trop puissante… comme si à force de vouloir voir de plus en plus clair on devenait complètement incapable de discernement ; comme si, après avoir emprisonné la réalité, on l’avait purement et simplement détruite ; comme si enfin les rêves revenaient à leur place, celle de l’éphémère. En réécoutant toujours plus Disco Quake on se dit également qu’au final voilà un disque beaucoup moins léger qu’il ne semble au départ. En tous les cas un disque fort estimable et un nouveau coup de maitre de la part de 202project.

Disco Quake le dernier 202 project (par FJ)

Si on est clairement dans la continuité ici, il y a quand même une vrai évolution sur ce nouvel opus. J'ai du mal a en parler car je ne l'ai pas encore totalement intégré (je suis très lent pour ça) mais je trouve qu'on est plus dans le mouvement, un peu moins dans le repli sur soi. Sans être véritablement frontal c'est quand même un disque d'affirmation, décomplexé. Ça s'amuse pas mal, un peu comme un patient en rémission post traumatique effectuerait des tentatives.
Et si vous n'y comprenez rien dites vous que moi non plus.

KFUEL 30/08/2012
Back from Front Wave !! Ce nouvel album de 202 Project continue d’explorer à sa manière les affres de la No Wave et les cendres du Post Punk. Les cendriers sont vidés et les bières avariées mais 202 Project, à la manière de The KVB ou des Soft Moon réussit à composer une musique actuelle, référencée mais singulière. Les ambiances sombres se succèdent aux rues dissonantes et la voix détachée donne un relief décalé à ces 12 titres électrisants. Un charme noir, vénéneux, terriblement solitaire et très vite addictif. Et même si l’album connait deux baisses de tension, on lui pardonne tout !!!

nextclues.com 29/09/2012
202 Project est le projet d'un seul type, mais n'allez pas non plus imaginer qu'il fait ça comme la quantité toujours croissante d'hommes-orchestres du moment, qui foutent la loop station en route en espérant que l'accumulation de couches de boucles (avec un peu de delay sur la flûte de pan) mettra les foules en transe. Non, il la joue à l'ancienne : boîte à rythme, avec par dessus de la guitare électrique, des lignes de basse de deux notes (jouées avec l'index sur le Korg, avec un pied en retrait qui bat la mesure pour faire bouger la mèche ?), un peu de synthé, et une voix désabusée. Ils pourraient être quatre dans 202 Project, pour un résultat similaire. J'ai déjà dit "à l'ancienne", et ce que ce bonhomme en solitaire doit se trimbaler, c'est la réputation de faire de la vieille new wave de frigidaire, goth dans les compartiments du bas, avec du post-punk dans la porte. Et un néon fluo de couleur pourpre quand on l'ouvre. Tous les produits devant être consommés de préférence avant décembre 1982.
C'est certain, Discoquake est un disque froid, distant et déshumanisé (à la Gary Numan), et quand j'y suis entré dedans, assez tristement, je me suis souvenu d'anciennes merdes bien françaises de cold wave à la Jad Wio. Mais très rapidement, ce que 202 Project a réussi à faire, c'est effacer les pistes. Parce que son album va plus loin que de simples limitations stylistiques. Ce qui l'emporte réellement ici, ce sont les compos, et elles sont foutrement bonnes, tendus, parfois drôles, toujours sous l'emprise d'une drogue anesthésiante, et avec des mélodies qui restent. Parce que le tempo (120 beats à la minute est le concept) est toujours le même, que l'ambiance est au désœuvrement - même lorsqu'il s'agit de sexe -, on pourra toujours rechigner sur la répétitivité et le fait que yep, indéniablement les morceaux se ressemblent un peu tous, mais si vous accrochez à des choses comme Tubeway Army, A-Frames, ou, encore mieux, le premier album solo de Jean-Jacques Burnel des Stranglers, vous y trouverez votre compte. Ou disons plutôt que 202 Project vous le mettra.

(8/10)
{Bil}

stnt.org
Publié par STNT le 19 Septembre, 2012 - 09:12
Ce one man band stéphanois n'est pas un inconnu chez STNT, depuis la fin des années 90, Jean Pierre MARSAL s'amuse avec ses boîtes à rythmes, ses samplers, sortis tout droit de la New wave des années 80. Les rythmes binaires, les bouts des ongles peints en noir, le nombre de ses sorties révelent l'opiniatreté du bonhomme. Il n'y a qu'à consulter la page bandcamp du projet pour se rendre compte de l'étendue de ses productions. Musicalement maintenant, sa musique se rapproche de ce qu'a pu faire le BELONE QUARTET sur Nantes à la moitiée des années 2000. De la Cold wave synthétique tout droit sortie des tiroirs rudimentaires des pionniers de la boite à rythmes. La nonchalance du chant rappelle SYD BARRETT, les arrangements sont un mix entre un CURE époque "Pornography" et un NEW ORDER période "movement" en oubliant rien à l'évanescence de ces années. L'époque est New Wave dans la pop, ou front wave comme certains disent et ce joli vinyle en prend toute la mesure.. Les amateurs seront conquis...

credits

released September 9, 2012

Composed/produced by JP Marsal
Artwork R.Scoarnec

license

all rights reserved

tags

about

Jean-Pierre Marsal France

contact / help

Contact Jean-Pierre Marsal

Streaming and
Download help

Redeem code

Report this album or account

If you like Jean-Pierre Marsal, you may also like: